Le rapport CurieuzeNeuzen de l’Université d’Anvers, de l’Agence Flamande de l’Environnement et de leurs partenaires démontre sans détours la mauvaise qualité de l’air en Flandre. Nous ne passons heureusement que 10 % de notre temps à l’extérieur, mais cela ne veut pas dire pour autant que l’air à l’intérieur de nos maisons est meilleur. Les particules fines sont tout aussi présentes à l’intérieur et peuvent même être jusqu’à cinq fois plus malsaines que l’air que l’on respire dans la rue. Il existe heureusement quelques solutions simples pour créer un climat intérieur plus sain.
Les particules fines et la pollution sont plus actuelles que jamais, mais on oublie trop souvent que l'environnement intérieur est parfois tout aussi mauvais (ou même plus mauvais). L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) a calculé qu’en 2012, 6,5 millions de personnes mouraient chaque année suite à la mauvaise qualité de l’air. Et il s’agit uniquement des victimes de la mauvaise qualité de l’air extérieur.
Comme l’être humain moyen passe 90 % de son temps à l’intérieur de la maison, il est nécessaire de ne pas prendre en compte uniquement les voitures, la pollution et les industries polluantes. Car les particules fines sont tout aussi présentes à l’intérieur de notre maison et elles peuvent véhiculer des microbes, de la moisissure, du pollen et des allergènes qui engendrent diverses maladies, des problèmes respiratoires, des réactions allergiques et des maladies du cœur ou des poumons.
La qualité de l'air au travail
Nous passons une grande partie de notre vie, huit heures par jour, au travail, souvent dans un bureau. Dans ce contexte, un environnement agréable – dans tous les sens du terme – est nécessaire afin de s’assurer que tous les employés viennent travailler avec plaisir et soient productifs ; selon plusieurs études universitaires, la productivité augmente de plus de 5% lorsque l’air est sain. Mais même quand une équipe de nettoyage passe plusieurs fois par semaine au bureau, cela n’empêche pas les concentrations élevées de particules fines qui engendrent une mauvaise qualité de l’air. L’employeur joue donc un rôle important dans la qualité de l’air, un aspect souvent omis.
De nos jours, on parle régulièrement de réinventer le lieu de travail. Souvent, on réaménage les différentes plates-formes de travail, on ajoute des salles modulables ou on développe une nouvelle vision à propos des salles de réunion. Mais quitte à réaménager, autant en profiter pour faire attention aux fondements les plus basiques.
Tout commence par le sol
Cela peut paraître étrange, mais le sol ou le revêtement de sol est un des éléments les plus importants pouvant contribuer à un lieu de travail agréable. Le choix d’un tapis, par exemple, peut contribuer à un lieu de travail chaleureux, qui absorbe le bruit et – à ne pas sous-estimer – qui purifie l’air. Une étude de l’Union Allemande de l’Allergie et de l’Asthme démontre que des espaces dotés d’un tapis contiennent significativement moins de particules fines en comparaison à d’autres types de sols.
C’est sur base de cette idée que Tarkett a travaillé sur ses produits AirMaster, couronnés plusieurs fois par des prix. Alors que le tapis moyen accroche jusqu’à quatre fois plus de particules fines qu’un sol lisse, les tapis AirMaster accrochent quant à eux jusqu’à huit fois plus de particules fines. Ils sont, en outre, faciles à nettoyer grâce à leur conception fonctionnelle.
Le choix d’un bon sol détermine la qualité de l’air d’un bureau. Une bonne approche permet d’obtenir un lieu de travail où les bactéries, les virus et les allergènes sont bannis, augmentant ainsi la productivité. Créer un nouveau lieu de travail se fait depuis la base, un bon sol sur lequel il est possible de construire des choses.