Info technique : Cloquage des revêtements de toitures plates

Il n’est pas rare qu’un cloquage apparaisse dans le revêtement d’une toiture plate. Les causes de ce phénomène peuvent être multiples. Pour en déterminer la cause exacte, il convient tout d’abord de localiser la couche dans laquelle il se manifeste. Un article à découvrir en entier dans le CSTC-Contact 2020/2.

 

La NIT 253 consacrée aux toitures-parkings distingue trois types de cloquages en fonction du lieu et du moment où le phénomène se produit :

  • le cloquage de première génération, qui apparaît sous ou dans l’étanchéité
  • les cloquages de deuxième et de troisième génération, qui surviennent dans la couche de finition ou entre la couche de finition et l’étanchéité, en raison de températures élevées pendant ou après la mise en oeuvre des couches de finition (asphalte coulé, par exemple).

Cet article ne traite que du premier type de cloquage. Pour de plus amples informations concernant les deux autres formes, nous renvoyons à la NIT 253. Le décollement local de la membrane d’étanchéité en raison de l’action du vent (généralement dans les zones de rive et d’angle du toit) n’est pas abordé non plus.


Les cloques peuvent apparaître à divers endroits :

  • au sein de la membrane de finition
  • entre deux couches d’étanchéité
  • entre l’isolation thermique et l’étanchéité de toiture
  • entre l’isolation thermique et son parement.

(...)

Conséquences du cloquage

Dans la plupart des cas, le cloquage constitue davantage un problème esthétique que fonctionnel. Il n’engendre pas de vieillissement accéléré des systèmes d’étanchéité de toiture actuels. Lorsque des flaques d’eau se forment, cela n’affecte généralement pas non plus la durabilité de la toiture.
Dans certains cas, la durabilité de l’étanchéité peut toutefois être compromise (...).

Lisez l'article dans son intégralité dans le CSTC-Contact 2020/2, aux pages 10 et 11.

Source : CSTC Contact 2020/2 (n°68), pp. 10 et 11.

 

Source: CSTC-Contact
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